Fiscalité, immobilier locatif, rénovation énergétique: les principales nouveautés en 2023
Comme chaque année, nous avons recensé, pour vous, les principales nouveautés immobilières pour l’année à venir.
Nous vous invitons à prendre connaissance des différentes mesures en matière de logement pour 2023 en cliquant sur le lien suivant : Nouveautés immobilières 2023
Disparition de la taxe d’habitation
Supprimée pour 80% des ménages, la taxe d’habitation sera définitivement supprimée pour les 20% de Français encore concernés.
Augmentation de la taxe foncière
Cet impôt local réglé par les propriétaires devrait augmenter de 7% en 2023. Ses paramètres de calcul sont indexés, chaque année, sur l’inflation. Hausse de l’imposition des résidences secondaires et logements vacants Une surtaxe d’habitation a été mise en place pour les résidences secondaires et logements vacants : 28 agglomérations situées en zone tendue sont concernées
Hausse de l’imposition des résidences secondaires et logements vacants
Une surtaxe d’habitation a été mise en place pour les résidences secondaires et logements vacants : 28 agglomérations situées en zone tendue sont concernées.
Instauration de l’audit énergétique obligatoire
Dès avril 2023, les propriétaires souhaitant mettre en vente un logement noté F ou G, devront, en plus de l’habituel DPE, joindre un audit énergétique au dossier de vente, document plus complet sur l’état du logement.
Réduction du taux de l’avantage fiscal Pinel
À compter du 1er janvier 2023, l’avantage fiscal du dispositif Pinel sera réduit. Les taux passeront respectivement à 10,5% pour une durée de 6 ans, 15% pour 9 ans et 17,5% pour 12 ans.
Doublement du déficit foncier sous conditions
Le gouvernement a adopté une nouvelle mesure fiscale visant à encourager les propriétaires bailleurs à rénover leurs logements. Le plafond du déficit foncier passera donc de 10 700 € à 21 400 € pour les travaux liés à la rénovation énergétique du logement.
Interdiction de location des passoires thermiques
À partir du 1er janvier 2023, les logements dont la consommation énergétique dépasse 450 kilowattheures par mètre carré et par an seront radiés du marché locatif.